Barak te souhaite la bienvenue dans ton autre maison.
C’est un lieu de rencontre et d’accueil libre.
Tu peux t’exprimer librement, te confier et jouer, tu seras écouté.e.
Si tu as entre 12 et 18 ans et que tu cherches un lieu accueillant, sans jugement et où tu peux être toi-même, viens à Barak.
Viens avec tes idées, tes projets, tu seras accompagné.e.s pour les réaliser.
Nos deux animateurs Christophe et Cédric sont là.

« Viens t’amuser à Barak, tu y trouveras des gens sympas. … Notre travail c’est aussi de converser dans une ambiance amicale »

Les animateurs

Cédric Schlatter 

animateur socioculturel formé HES, C.A.S. praticien formateur, formateur C.F.C, Master en psychologie et éducation. Il travaille pour Barak depuis décembre 2011. Il a survécu à la structure et aux adolescent-e-s depuis lors ! Bel effort !

animateur socioculturel formé HES, C.A.S. praticien formateur, formateur C.F.C, Master en psychologie et éducation. Il travaille pour Barak depuis décembre 2011. Il a participé à l’ouverture du centre en œuvrant avec les adolescent-e-s de l’époque. Besoin estimé à une quarantaine de jeunes, le centre est pris d’assaut par plus de 200 jeunes, où chaque décision est alors mise en pourparlers. Cette dynamiques d’échange et d’égalité entre jeune-comité-animateur est restée présente depuis lors. Cédric a accompagné cette co-construction appelée Barak en œuvrant à la fois sur les dimensions collectives du centre, et individuelles au public pour qui le centre existe, les jeunes. Jeunes qui fréquentent en nombre la structure, malgré une perte de lien conséquente suite à la COVID 19.

Christophe Jaton 

Ancien jeune ayant survécu au centre durant 6 ans, j’ai suivi la formation d’animateur socioculturel en emploi à Barak. Ces années passées à fréquenter le centre ont par ailleurs laissé quelques légendes connues par les jeunes aujourd’hui quant à mon agilité (ou maladresse).

J’étais en cours de formation d’informaticien alors que je bénéficiais de l’accueil libre et participais aux projets mené par Barak, les dynamiques de ce métier m’ont intéressées par leur aspects profondément démocratique. J’ai alors profité du service civil pour débuter une reconversion dans le domaine de l’animation socioculturelle. À la suite de ce dernier, j’ai commencé la formation en emploi à Barak en tant qu’animateur avec cette volonté de continuer à faire vivre cet accueil libre, lieu d’apprentissage de ce vivre ensemble particulier que propose Barak.

« On a encore mangé personne »
« CCTVVMC » (Coucou, tu veux voir mon centre ?)
« On est pas des profs, c’est pas l’école, mais on a une jolie vue dessus »
« On a une batcave avec Billy » (private joke des anciens)
« Ici, on ancre pas de chanson dans la tête des gens ! #Tourner #Serviette #Sardine #boîte »

Les horaires
Mardi : 13h30 – 18h00
Mercredi : 13h30 – 17h30
Vendredi : 15h00 – 19h00
Samedi : 14h30 – 18h00

Les animateurs sont accessibles dans les lieux dès 9h30 pour toi, tu es prioritaire lorsque tu viens.

Leur autre maison-témoignage des habitant.e.s

Salut, je m’appelle Hélène (nom fictif) et j’aime venir à Barak

J’y retrouve mes amis et je discute avec les animateurs. C’est très convivial. Le samedi on y prépare même des repas. Les animateurs sont sympas, ils sont à la fois amis et adultes, des adultamis. Oui ça existe à Barak.

Je suis Eloise (nom fictif). Barak c’est mon lieu à moi. Je préfère parler avec les animateurs et avoir des discussions avec des adultes. J’ai un lien exclusif avec eux et je sollicite leur avis, c’est un moment de partage et d’exclusivité. En plus, il y a de la nourriture gratuite, du chocolat. C’est une deuxième maison, mais sans limite, sauf celle des animateurs bien sûr.

Moi c’est Diane (nom fictif). Je viens à Barak depuis avant la Covid. Je fréquentais Barak pour voir mes amis. Aujourd’hui, je viens pour être avec Eloise. Ma maman est rassurée de me savoir ici. Un endroit où je suis tranquille. Je viens voir Cédric pour avoir des conseils, une figure masculine, paternelle. C’est une deuxième maison. Dans cette maison même si je dois la partager, je trouve ma place. Je suis en bonne compagnie, il y a des gens que je ne vois qu’ici. Ce qui se passe à Barak reste à Barak.

Maman, Papa, je suis bien à Barak, je suis moi-même, on ne me juge pas.

Je suis Miguel (nom fictif). Barak c’est mon lieu à moi. Je préfère parler avec les animateurs et avoir des discussions avec des adultes. J’ai un lien exclusif avec eux et je sollicite leur avis, c’est un moment de partage et d’exclusivité. En plus, il y a de la nourriture gratuite, du chocolat. C’est une deuxième maison, mais sans limite, sauf celle des animateurs bien sûr. Je vois en Cédric une figure masculine aka paternelle en lui on peut parler avec lui avoir des conversations avec lui et avoir un appui moral en dehors de nos amis et famille .

Moi c’est Gabriel (nom fictif), Je viens à Barak depuis avant la Covid. Je fréquentais Barak pour voir mes amis. Ma maman est rassurée de me savoir ici. Un endroit où je suis tranquille. Je viens voir Cédric pour avoir des conseils, une figure masculine, paternelle. C’est une deuxième maison. Dans cette maison même si je dois la partager, je trouve ma place. Je suis en bonne compagnie, il y a des gens que je ne vois qu’ici. Ce qui se passe à Barak reste à Barak. Je suis bien à Barak, je suis moi-même, on ne me juge pas.

« J’ai eu le déclic de pouvoir m’ouvrir, Barak m’a apporté un chemin pour mon avenir, je suis devenu logisticien et pour mon TPA j’ai pu avoir l’aide de Cédric », Richard Van Smooth

« Viens t’amuser à Barak, tu y trouveras des gens sympas. … Notre travail c’est aussi de conserver une ambiance amicale »